Création le 2 novembre 2016
Théâtre National de Bretagne à Rennes
Festival Mettre en scène

Coproductions
Théâtre du Radeau, Le Mans
Théâtre National de Bretagne – Centre Européen Théâtral
et Chorégraphique
Festival d’Automne 2017, Paris
Théâtre National de Strasbourg
Centre Dramatique National de Besançon Franche-Comté
Théâtre Garonne, Toulouse
La Fonderie, le Mans

Coréalisation
Nanterre-Amandiers, centre dramatique national, Festival d’Automne à Paris

Mise en scène, scénographie François Tanguy
Élaboration sonore Éric Goudard – François Tanguy
Lumières François Fauvel – Julienne Havlicek Rochereau – François Tanguy

Avec Didier Bardoux – Frode Bjørnstad – Laurence Chable – Muriel Hélary – Ida Hertu – Vincent Joly – Karine Pierre – Jean Rochereau
ainsi qu’Anne Baudoux et Jean-Pierre Dupuy

Régie Générale François Fauvel
Régie Lumière François Fauvel – Julienne Havlicek Rochereau
Régie Son Éric Goudard – Mikaël Kandelman

Construction Pascal Bence – Frode Bjørnstad – François Fauvel – Éric Goudard – Julienne Havlicek Rochereau – Vincent Joly – Jimmy Péchard – François Tanguy

Administration / Intendance Agnès Bedet – Nathalie Bernard – Geneviève de Vroeg-Bussière – Leila Djedid –  Clément Longin – Martine Minette

Soubresaut est la dix-spetième création du Théâtre du Radeau.
« Dans ce fouillis de lignes possibles, nous guettons l’apparition d’un trait qui serait comme une décision qui engage, qui engage la vision et une multitude éventuelle, momentanée, illusoire…Une fois que c’est fait, la structure ne va pas se
mouvoir autrement que dans l’imagination. »
« Tableau de Hans Holbein « les ambassadeurs ». Les modèles ont disparu en chair depuis quelques lustres, et l’effet comme l’effort diplomatique dont ils sont chargés (…) n’offrent au regard que l’intrigante scrutation somptuaire de la
construction picturale.
Frise de Pergame : (…) la frise sculpte dans le marbre le combat des titans et des dieux. »
« Sortir de la mêlée sans sortir et risquer à chaque pas d’en dénoncer les subterfuges. »
« Cela va sans dire, s’exposant au treillis pourfendu des « raisons », s’en faire une. »
« Le théâtre ? C’est résister, pas reprendre, pas regagner parce qu’on a perdu. Résister, cela veut dire se souvenir :
la mémoire devant, pas derrière. »