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«De l’un à l’autre, on parcourt de nombreux dédales, de la pensée, de la maladie et de la mort, de la nausée et de la beauté. Chaque fois, tout se passe comme si des éclairs nous frappaient.»
Le Monde – Brigitte Salino – 11 décembre 2019
«Que dire, sinon que le Radeau fréquente les textes comme on côtoie des amis, les donne à entendre comme jamais? Et que, en sortant, le spectateur se sent un peu plus humain?»
Le Canard enchaîné – Mathieu Perez – 24 décembre 2019
«Tous portent des mots comme ils portent des redingotes lestées de pluie,
de neige fondue, de nuits sans sommeil.»
https://blogs.mediapart.fr – Jean-Pierre Thibaudat – 3 décembre 2019
«Item est une pièce à cœur ouvert. Une chirurgie de l’âme, affrontant l’inéluctable promesse du départ. Ou plutôt l’impossibilité de s’y confronter, comme dans le célèbre tableau de Rembrandt (La leçon d’anatomie du docteur Tulp)…»
Un fauteuil pour l’Orchestre – Nicolas Thevenot – 18 décembre 2019
«Alors devient sensible le mouvement du rideau d’une arrière-cuisine qui, sous le souffle d’un vent léger, fait croire à quelques présences vitales autant que spectrales. Mouvement rare, loin du front de scène, qui dit tout autant le semblant de vie, que le vide pur et absolu.»
L’insensé – Yannick Butel – 20 novembre 2019
Item au TNS: La tectonique des textes et du théâtre
La fleur du dimanche
8 janvier 2020
«Lieu d’accueil, il s’offre aux pauvres humains naufragés ; lieu des prodiges, il s’ouvre au jeu infini des métamorphoses. C’est par là qu’il fait preuve, une fois encore, de sa vitalité et de son inlassable résistance.»
Crayonné au théâtre. – Christian Drapron – 13 décembre 2019
«Peinture des caractères, des passions à travers une poétique de la crise du héros, de l’homme, de la représentation, d’ITEM se dégage un rappel du tragique de l’existence, sans morosité, sans violence, sans amertume, simplement avec art.»
https://cyborgtheatre.tumblr.com – Mathieu Méric – 11 décembre 2019
François Tanguy continue, à bord de son Radeau, de ramer à contre-courant,
de se laisser guider par « le tremblement de l’artisan » où réside, selon Jacques Nichet, la clef de l’émotion.»
www.sceneweb.fr – Vincent Bouquet – 8 décembre 2019
«Comme si, au Théâtre du Radeau, à l’intérieur d’un monde pictural de tableaux de maîtres anciens, se déployait aussi une conversation entre les œuvres littéraires et musicales, disséminées depuis le passé jusqu’au présent – une réflexion inventive.»
https://hottellotheatre.wordpress.com – Véronique Hotte – 8 décembre 2019
